samedi 21 décembre 2013

SALON D'HIVER des Arts et de la Culture à Carantec

l'artiste à l'Affiche cette année : la Golfeuse


Lantoine Maryse 2 - Copie


 

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Salon des arts. Un parcours ludique pour les enfants

 
                                           
Les enfants plébiscitent le parcours ludique qui leur est proposé.
 

Le bilan du Salon des Arts, établi à mi-parcours, témoigne d'une très bonne fréquentation, puisque le cap des 1.500 visiteurs, de toutes nationalités, a été franchi en début de semaine. Au chapitre des commentaires, les visiteurs indiquent apprécier la qualité et la variété de styles des 72 artistes peintres et sculpteurs.

Un parcours ludique pour les enfants

L'équipe du Salon des Arts tient particulièrement à la participation des enfants. C'est ainsi que les oeuvres des élèves des écoles de Carantec sont exposées et mises en valeur à l'entrée de la salle des artistes. D'autre part, un parcours de découverte ludique de l'exposition leur est proposé. Ce « travail » est, bien sûr, récompensé. Quant aux plus petits, ils peuvent s'installer à l'atelier jeux et dessins, pendant que leurs parents font leur visite. Une nouveauté cette année : l'ouverture de l'exposition, le jeudi matin, jour du marché. Marine, la permanente, ainsi que des artistes occasionnellement présents et des bénévoles de l'association, accueillent le public tous les jours , à l'Espace André-Jacq
                                 
   

Le Salon des arts s'installe


Bénévoles et artistes rassemblés autour d'une toile de Marie La Rouille.
Rectification : ce n'est pas une toile de Marie la Rouille mais de Maryse Lantoine
 
Dès lundi après-midi, l'espace André-Jacq à Carantec se parait de couleurs flamboyantes. Dans un discret bourdonnement, les premiers artistes invités à participer au Salon d'hiver 2013 venaient installer leurs oeuvres.
Le Salon d'hiver est réservé aux professionnels, peintres et sculpteurs, tandis que sa version estivale, elle, est ouverte aux amateurs. Cette année, cinquante-cinq peintres et dix sculpteurs ont été sélectionnés par l'association organisatrice de cette manifestation.
Les vingt-deux bénévoles mobilisés tout au long de l'année pour mettre sur pied ces deux rendez-vous incontournables de Carantec choisissent collégialement les artistes exposants. Comme l'année précédente, il a été décidé d'ouvrir l'espace André-Jacq à une bonne moitié de nouveaux venus.
On viendra découvrir ou redécouvrir les oeuvres de Loys Laouenan, les aquarelles de A. Queffellec, etc
 de 14 h 30 à 19 h 30, Salon d'hiver de Carantec.

 
L'affluence est déjà vive au Salon d'hiver, qui réunit 55 peintres et dix sculpteurs, à l'Espace André-Jacq. «La manifestation, placée sous le signe d'un hommage au sculpteur Lucien Prigent, est une explosion de couleurs et une belle invitation au voyage en ces temps de grisaille», soulignait Anne Hecquet, adjointe à la culture

Des écoles diverses

«L'exposition réunit des écoles diverses, se félicitait Jacques Héliès, président du Salon des arts: impressionnisme, cubisme, fauvisme, marines, natures mortes... La peinture, c'est d'abord un regard, celui du peintre sur la nature, mais aussi sur son intériorité...». Jean-Guy Guéguen  Maire et Raymond Mercier Conseiller Général, ont salué à leur tour l'éclectisme du salon carantécois, tandis qu'Agnès Le Brun Maire de Morlaix, s'attachait à voir dans la manifestation «un acte de réconciliation entre la solitude du créateur et un geste collectif de partage». Il est impossible de citer chaque exposant. Mais les amateurs y retrouvent, avec bonheur, les lumières violentes ou toutes de douceur de Loys Laouénan dans «Le port de Morlaix» ou «Le clown à la trompette». À voir aussi, «La Bigoudène», de Frédérique Quellec, les acryliques superbes de Gilbert Tymen et Michel Maszczyk et la surprenante sculpture, en résine et métal, baptisée «Tronc commun», de Sylvie Bozoc. L'exposition est aussi une invitation à retrouver les familiers des cimaises carantécoises, Gilles Brunerie, Isabelle d'Arboussier, Jean-François Le Saint et ses pastels troublants de présence, Jean-François et Mickael Chaussepied, Robert Priser, Lucien Pouëdras
 
 
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Lundi 18 Février 2013 à 12h42 dans ArticlesPoster un commentaire
Carantec. Le salon des arts est à découvrir jusqu'au 6 janvier
 

(Crédit. Google Street View)
 
Une nouvelle édition du salon des arts de Carantec se déroule à l'Espace André Jacq, situé au 2 rue Pasteur. Jusqu'au 6 janvier 2013, 55 peintres professionnels et 10 sculpteurs y exposent leurs oeuvres.
« On organise deux salons par an, un l'été, et un autre l'hiver » rappelle Jacques Héliès, président. Et cette année, un hommage particulier est rendu à Lucien Prigent à l'occasion du vingtième anniversaire de sa disparition.
 
En audio.
Jacques Heliès, président du salon.
 
Pratique.
Entrée gratuite. Ouverture, tous les jours, 14h30 à 18h30.



Vendredi 28 Décembre 2012 à 11h39 dans ArticlesPoster un commentaire






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GR34



Sentiers côtiers. Le hit-parade des habitués

             

        

De Tréflez à Locquirec, 150 km de sentiers balisés longent la côte. Nombreux sont les randonneurs et les promeneurs à les arpenter. En bons habitués, les randonneurs décryptent pour nous ces chemins avec vue imprenable sur la mer. De quoi donner l'envie d'aller se balader ..


Le plus familial. « L'île verte, à Locquirec », votent Jean Penn, fondateur des Trotte-Sentiers du pays de Morlaix, Jo Le Roux, ancien président, et Claude Rolland, responsable des chemins au sein de l'association, lorsqu'il s'agit d'évoquer le plus familial des sentiers côtiers qui s'étendent de part et d'autre de la baie de Morlaix. « Ce n'est pas forcément le seul, mais sur 1,5 km, du port au parking de Pors ar Villiec, on peut venir en poussette sans problème, détaillent-ils. Il y a des bancs tout du long. C'est agréable pour les personnes âgées ».

Le plus surprenant. Sur cet aspect, les réponses varient. « Pour moi, c'est la pointe de Primel, à Plougasnou, souligne Claude Rolland. Entre le chemin et l'îlot, en contrebas, il y a une faille de trois-quatre mètres de large qui laisse passer l'eau. À marée haute, le courant est impressionnant ! » « Vu la beauté du site et le panorama superbe, il faut deux heures pour boucler les 2 km qui font le tour..

Le plus escarpé. « Incontestablement, c'est celui qui va de Poul Rodou, à Guimaëc, à la plage de Saint-Jean-du-Doigt, en passant par la pointe de Beg ar Fry », s'accordent nos trois marcheurs chevronnés. « Ça ne fait que 10 km, mais il faut compter l'après-midi pour le parcourir. Il y a quatre-cinq montées à tomber par terre ! C'est un vrai sentier à la file indienne, l'un des plus difficiles de Bretagne, avec beaucoup de marches à gravir, peu de plat, des passages parfois glissants, mais plusieurs possibilités de bifurquer sur la route », décrivent-ils en ayant néanmoins des yeux de Chimène pour ce chemin : « Il est magnifique ! »

Le plus fréquenté. « Celui qui va du Kélenn à Pen al Lann, à Carantec », répond Claude Rolland. « Tout le monde l'a déjà fait au moins une fois. Il est relativement facile, parfait pour la balade du dimanche après-midi, avec des parkings », renchérit Jo Le Roux. « Il y a aussi celui qui va du Dourduff-en-Mer à Kerarmel, à Plouezoc'h, note Jean Penn. Il est bien fréquenté, même en semaine. Il est tellement piétiné qu'il n'y a plus d'entretien à faire ».

Le plus entretenu. « À Carantec, il est rare qu'un sentier ne soit pas nickel. C'est le nec plus ultra », apprécient les trois randonneurs, en se souvenant que « Carantec a été une des premières communes du Finistère à s'intéresser à la qualité de ses sentiers ». Le plus ensoleillé. « Ça dépend des jours ! », rigolent les marcheurs, en scrutant le ciel menaçant. L'absence de soleil ne les rebute pas. « Quand on veut randonner, quel que soit le temps, on y va. De manière générale, les sentiers, ici, ne sont pas très boueux. Après, il faut parfois faire avec l'air vivifiant... ».




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jeudi 19 décembre 2013

CARANTEC en Bretagne



http://youtu.be/JWwIV4AyWXI
Un petit aperçu de la plage du Kélenn à Carantec !!
Plages; activités loisirs pour Enfants, belles balades à pieds le long du GR 34..
de quoi satisfaire les petits et les grands !!!
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lundi 9 décembre 2013

Carantec et la baie de Morlaix



Ville de Carantec, bordée de mer.. située dans la Baie de Morlaix..
Magnifiques paysages , balades sur le chemin côtier le GR 34, pêche à pieds ;;
une vraie destination de vacances !
via la Villa des Pins, location de vacances
www.villa-des-pins-carantec.com

Carantec et la baie de Morlaix


Entre le Léon et le Trégor, la baie de Morlaix offre un paysage remarquable ponctué d'une multitude d'îles et d'îlots. Très courue par les artistes des années 1900, la presqu'île de Carantec est indissociable de l'île Callot que l'on rejoint à pied à marée basse. Partez à la découverte de ses charmantes criques de sable fin, vous serez conquis !











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lundi 18 novembre 2013

le GOLF de CARANTEC




 "Golfeurs"







Carantec Golf Course

Carantec golf course has an exceptional setting overlooking the sea. Golf de Carantec, Bretagne A true pleasure for the eyes as well as the game itself, Carantec Golf Course is open to welcome (...)

Le Golf de Carantec

Le golf de Carantec bénéficie d’un cadre privilégié de bord de mer. Golf de Carantec, Bretagne Véritable plaisir pour les yeux et pour le jeu, le golf de Carantec vous accueille tout au long de (...)

Take up the golf challenge in Brittany!

Let’s set the scene it’s a Thursday morning, and the 9-hole golf course at Carantec has woken up in good spirits. The only soundtrack comes from the rolling waves on Clouët beach, the singing birds (...)





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samedi 16 novembre 2013

CARANTEC en toutes SAISONS


LA VILLA des PINS se situe dans cet environnement extraordinaire qu'est la Baie de Carantec, entourée de mer, face à Roscoff .. à toutes saisons vous pouvez venir vous ressourcer face à ces paysages sans cesse renouvelés .. 

LA STATION

Carantec, péninsule au cœur de la Baie de Morlaix.


Carantec est une station de 3100 habitants ouverte toute l'année, qui s’étend sur 900 hectares.

Avec une douzaine de restaurants, de la table gastronomique deux étoiles Michelin aux crêperies, de nombreux services, et un tissu associatif dense, la commune dispose de toutes les infrastructures utiles pour vous faire passer un bon séjour en Baie de Morlaix.

L'activité économique est aujourd'hui essentiellement tournée vers le tourisme.

Toutefois, on dénombre une quinzaine d'exploitations agricoles situées dans la zone légumière du Léon, cultivant essentiellement l'artichaut, le chou-fleur et l'échalote, une quinzaine d'entreprises ostréicoles et de mareyageune dizaine de professionnels de la pêche, et quelques chantiers navals




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dimanche 3 novembre 2013

Destination Vacances à Carantec




La Villa des Pins à Carantec est heureuse de vous présenter la Famille l'HOUR, mémoire de l'Ile Callot depuis des générations.
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Bienvenue à Carantec

îliens, d’hier à aujourd’hui, l’île Callot vue par trois générations

le 25.10.2013
Etre né sur une petite île bretonne, l’idée plairait à bon nombre d’entre nous mais pourrait bien se traduire par une véritable angoisse pour les moins solitaires… Il faut dire que la vie insulaire divise : lieu de première captivité, l’île représente dans le même temps, une terre de fuite, d’oubli et d’aventures.
Pour trouver des témoignages de cette vie hors du temps, nul besoin d’aller bien loin. En Bretagne, au large du port de Carantec, dans le Finistère, s’étire l’île Callot. Du granit et du sable, un bout de terre de 2km de long sorti des eaux au beau milieu de la Baie de Morlaix, voilà de quoi alimenter l’imagination. Une île comme les autres vous dites ? Certainement pas Callot qui joue de ses deux visages : île à marée haute, elle se démasque pour devenir presqu’île lorsque la mer se retire.
la chaussée submersible de l'ile Callot à Carantec, Finistère, Bretagne
Le décor est planté : il est temps de rencontrer ses gardiens de la première heure, la famille L’Hour habitant les lieux depuis 1905. Que peuvent-ils bien penser de cette vie entourée par les flots ?

« Une vie rude de marin-cultivateur »

Ernest L’Hour a vu le jour dans la même maison que sa mère née en 1893 et que sa grand-mère née en 1858. Abritée en contrebas de la ravissante chapelle Notre Dame de Callot, il y vit encore avec son épouse Yvonne, qui a quitté les terres de Guiclan pour le rejoindre dans ce quotidien salé. Ils conservent ainsi la mémoire des lieux et se souviennent de la vie sur l’île avant. Avant l’installation de l’électricité et de l’eau courante dans les années 50, avant la route submersible construite dans les années 60, et aussi avant, lorsque l’île accueillait et faisait vivre plus de 14 familles à l’année.
la famille L'Hour, habitants de l'ile Callot à Carantec, Finistère, Bretagne
À cette époque, les habitants vivaient principalement d’une richesse insoupçonnée, l’or noir de Callot : le goémon. Il fallait le récolter, le sécher, l’aérer, le découvrir, le protéger des intempéries... et ce pendant une période plus ou moins longue en fonction de la météo. Une fois bien sec, il était mis en sac et vendu au kilo à des entreprises spécialisées du continent. Il servait ainsi d’engrais pour les cultures ou permettait de fabriquer de la teinture d’iode, un puissant antiseptique.
La vie était rude pour ces habitants qui exploitaient les ressources de la mer mais qui n’en oubliaient pas pour autant la terre. Pêcheur d’oursins d’octobre à avril et goémonier au retour du printemps, Ernest L’Hour devait également avoir les bras aux champs, aidé de son beau-père. Deux ou trois vaches, un cheval - indispensable pour le labour et la récolte des algues : chaque maison possédait sa ferme pour revendre une partie de sa production à Carantec et conserver l’autre pour nourrir les grandes familles de l’époque.
Car les jeunes îliens étaient nombreux. Pour preuve, l’école construite en 1936 au milieu de l’île a vu jusqu’à 25 élèves sur ses bancs, de la maternelle jusqu’au certificat d’études. Les plus grands allaient ensuite à Carantec ou en pension à Morlaix ou St Pol de Léon. La classe unique était dirigée par une institutrice venue du continent qui y avait ses appartements. Le benjamin de la famille L’Hour en a connu la fermeture en 1975, il n’y restait plus que quatre élèves.
Car dans les années 50, le goémon breton ne paie plus. Quelques ostréiculteurs se sont bien installés après-guerre sur Callot en rentrant d’Angleterre. Mais l’économie de l’île est au plus bas et l’exode est inévitable. Aujourd’hui, on recense moins d’une dizaine de maisons réellement habitées en hiver.
À plus de 80 ans, Ernest et Yvonne profitent de la douceur de vivre et quittent Callot le moins souvent possible. Surnommés à juste raison les gardiens de l’île, Yvonne gère chaque jour l’ouverture et la fermeture de la chapelle afin que les visiteurs puissent la découvrir au gré de leur balade. Ils veillent également sur quelques maisons en attendant le retour de leurs propriétaires à la belle saison. Avec le recul, le manque de confort leur a semblé rude. « Mais finalement, c’est quand la vie est difficile que l’on se rend compte qu’elle est belle ! »

« Des souvenirs d’enfance magiques »

Arrivé à l’âge de trois mois sur l’île, on peut dire que Bertrand L’Hour y est né ! Pour lui, Callot évoque le parfum des doux souvenirs d’enfance. Le temps où il aidait son père et son grand-père dans les champs, avec le cheval qu’il avait exceptionnellement le droit de monter. Ou encore les départs pour la catéchèse, où les enfants, tel un convoi, se rejoignaient d’une maison à l’autre pour partir groupés à Carantec… avec un arrêt immanquable devant la seule télé de l’île, chez Mme Autret, le temps d’apercevoir un épisode de Rintintin !
Aujourd’hui, après 18 ans dans la Marine et plusieurs tours du monde, Callot reste pour lui le paradis sur terre. Un paradis dont il faut défendre les intérêts, comme ceux de ses habitants. C’est ce qui l’a conduit à s’engager dans la vie politique locale. Quant à penser à y vivre, « il s’agit seulement d’un doux rêve, le monde du travail n’étant pas compatible ».

« Profiter des instants sur l’île sans être coupé du monde »

Vincent L’Hour, 26 ans, connait Callot comme sa poche. Que ce soit à l’occasion de rendez-vous familiaux chez ses grands-parents ou de pique-niques improvisés en bateau entre amis, l’île n’est jamais très loin. Il a en effet eu la chance de pouvoir revenir vivre à Carantec en intégrant récemment le service jeunesse de la commune. Un choix de vie pour lui, très attaché à la famille et à ce cadre exceptionnel.
La double vie de Callot, c’est ce qu’il apprécie le plus. « Grâce au phénomène des marées, on y rencontre promeneurs, familles, touristes comme carantécois. Mais à l’heure où la chaussée se recouvre, l’île nous appartient de nouveau ! »
Et lorsqu’on lui demande de quelle façon il voit Callot dans plusieurs dizaines années, il espère que celle-ci sera toujours aussi belle et protégée, et surtout que chacun puisse continuer à en profiter.
ile Callot à Carantec, Finistère, Bretagne




















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